Les déodorants avec sel d’aluminium sont très prisés des consommateurs des produits cosmétiques. Ils sont notamment appréciés pour leur capacité à réduire le débit de la transpiration. L’utilisation de ces déodorants pourrait cependant avoir des conséquences insoupçonnées sur la santé des consommateurs.
Pour se mettre à l’abri du cancer du sein
Les sels d’aluminium contenus dans les déodorants sont, depuis plusieurs années, soupçonnés de contribuer au développement du cancer du sein. Des études récentes n’ont fait que confirmer cette hypothèse. Cela s’explique par le fait que les déodorants sont le plus souvent appliqués aux aisselles. Or, certaines recherches ont suggéré que ces composés d’aluminium peuvent pénétrer la peau par les pores. Cette réaction est susceptible de causer une interférence avec les récepteurs aux œstrogènes de certaines cellules cancéreuses. L’œstrogène favorisant la croissance des cellules mammaires cancéreuses et non cancéreuses, il est probable que les sujets exposés à ces déodorants développent le cancer du sein.
Pour se mettre à l’abri des maladies neurodégénératives
Plusieurs raisons permettent de croire qu’il y a un lien entre l’aluminium et les maladies neurodégénératives. Des recherches ont en effet suggéré que l’aluminium accélère le vieillissement des cellules au niveau cérébral. Si le corps arrive à éliminer et expulser en grande quantité l’aluminium via l’urine, la petite quantité qui résiste à ce nettoyage crée des dégâts. Des fractions d’aluminium pourraient ainsi se retrouver dans le cerveau, surtout chez les patients ayant une fonction rénale diminuée, à l’instar des patients dialysés. Le risque de développer certaines maladies s’accroît alors. Il s’agit des maladies comme :
- La maladie d’Alzheimer ;
- La maladie de parkinson…
Pour preuve, à l’autopsie, on constate que le cerveau des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer contient une concentration élevée d’aluminium. Le taux d’aluminium est clairement plus élevé dans cette zone que dans des tissus cérébraux sains.
Pour éviter les atteintes osseuses
Les déodorants avec sel d’aluminium ne sont pas sans conséquence pour vos os. Une exposition régulière à l’aluminium entraîne progressivement une atteinte osseuse. Une fois à l’intérieur de votre organisme, l’aluminium s’accumule plus facilement au niveau du tissu osseux. Il forme des cristaux qui se déposent aux endroits habituels où se dépose le calcium nécessaire à la minéralisation. Cela fait ainsi obstruction au phénomène naturel de minéralisation osseuse. Pire, l’aluminium stimule également plusieurs types de cellules osseuses et provoque, de ce fait, une rupture de l’homéostasie du tissu.
Les déodorants sans aluminium respectent votre corps
Un déodorant sans aluminium mise sur des ingrédients naturels bio et de qualité tels que :
- La perlite ;
- L’Aloe vera ;
- Les huiles essentielles…
Bien qu’on en soit pour l’instant à l’étape de soupçon sur les risques auxquels exposent les sels d’aluminium, il est fortement recommandé d’adopter les déodorants bio. Ils favorisent les processus naturels du corps et ne font pas obstacle au phénomène de la transpiration, nécessaire à la régulation de votre chaleur corporelle. Les déodorants bio, grâce à leurs ingrédients, possèdent toutefois une action antibactérienne qui leur permet de lutter contre les odeurs et d’absorber les excès de sueur.
Que retenir ? Le contact entre votre peau et les déodorants avec sel d’aluminium peut vous exposer à de grands risques sanitaires. Pour satisfaire vos besoins en matière de déodorant, il vaut mieux préférer les déodorants bio.